Au Québec dans la "salle de bain", je m'assieds sur le "bol de toilettes". En France, dans les "toilettes", je vais poser mon séant sur la "cuvette".
Il y a beaucoup plus d'eau dans le bol de toilette, que dans la cuvette à laquelle j'étais habitué. C'est un avantage. Il ne m'est plus nécessaire de viser outre mesure pour atteindre mon but et ne pas salir la porcelaine. Cet avantage n'étant bien entendu pas négligeable lorsqu'on est dans un lieu public, et qu'on ne veut pas paraître pour un malappris vis à vis de la personne qui attend patiemment derrière la porte. Fini le souci de nettoyage approximatif lorsqu'on ne dispose pas de l'outillage nécessaire... Adieu la fuite honteuse loin du lieu d'aisance, les yeux fixés au sol...
En Europe, il convient en effet d'avoir beaucoup de dextérité au moment opportun : l'eau résiduelle de la cuvette atteignant à peine une dizaine de centimètres de profondeur, soit quatre pouces environ.
Tout avantage ayant cependant un inconvénient direct ou secondaire, le niveau d'eau du bol de toilette québécois est traître. A tout moment, en effet, on peut se retrouver avec les fesses aspergées. C'est une sensation désagréable si il en est, non seulement du fait de la température de l'eau, mais aussi parce qu'on pense inconsciemment aux résidus qui peuvent s'y trouver. Ce, même si la "chasse d'eau" ou la "chaîne" a été bel bien tirée par notre prédécesseur sur le trône.
Tout ce texte hautement philosophique pour dire que, les comparaisons d'un pays à l'autre et même d'une personne à l'autre, surtout lorsqu'elles ont pour but de d'émettre un jugement de valeur, ça me fait chier, chier, chier. Rien pour moi n'est propre aux manières d'une nation ou d'une autre, tout se terminant pour tout un chacun, dans un lieu confiné où l'on se sent parfois bien seul.
Il y a beaucoup plus d'eau dans le bol de toilette, que dans la cuvette à laquelle j'étais habitué. C'est un avantage. Il ne m'est plus nécessaire de viser outre mesure pour atteindre mon but et ne pas salir la porcelaine. Cet avantage n'étant bien entendu pas négligeable lorsqu'on est dans un lieu public, et qu'on ne veut pas paraître pour un malappris vis à vis de la personne qui attend patiemment derrière la porte. Fini le souci de nettoyage approximatif lorsqu'on ne dispose pas de l'outillage nécessaire... Adieu la fuite honteuse loin du lieu d'aisance, les yeux fixés au sol...
En Europe, il convient en effet d'avoir beaucoup de dextérité au moment opportun : l'eau résiduelle de la cuvette atteignant à peine une dizaine de centimètres de profondeur, soit quatre pouces environ.
Tout avantage ayant cependant un inconvénient direct ou secondaire, le niveau d'eau du bol de toilette québécois est traître. A tout moment, en effet, on peut se retrouver avec les fesses aspergées. C'est une sensation désagréable si il en est, non seulement du fait de la température de l'eau, mais aussi parce qu'on pense inconsciemment aux résidus qui peuvent s'y trouver. Ce, même si la "chasse d'eau" ou la "chaîne" a été bel bien tirée par notre prédécesseur sur le trône.
Tout ce texte hautement philosophique pour dire que, les comparaisons d'un pays à l'autre et même d'une personne à l'autre, surtout lorsqu'elles ont pour but de d'émettre un jugement de valeur, ça me fait chier, chier, chier. Rien pour moi n'est propre aux manières d'une nation ou d'une autre, tout se terminant pour tout un chacun, dans un lieu confiné où l'on se sent parfois bien seul.

1 commentaire:
bravo pour cette note pratique et éclairante sur le pipi masculin.
faudra que je songe à faire le pendant féminin, beaucoup plus sport....
bonne vie à montréal
valentine
Enregistrer un commentaire